Un matin
on aurait appris
à regarder
avec douceur
l’ébréché
on ne chercherait
plus à réparer
avec les traces
de notre histoire
gravées là
on saurait
vivre
Photo et poésie
Un matin
on aurait appris
à regarder
avec douceur
l’ébréché
on ne chercherait
plus à réparer
avec les traces
de notre histoire
gravées là
on saurait
vivre